Depuis le début des années 1990, l’avancée des techniques de l’IRM (Imagerie par résonance magnétique) et de la puissance de calcul des ordinateurs ont permis de découvrir de manière tangible les effets de la méditation sur le cerveau et sur le corps.
Au même titre que la pratique de la culture physique avait pu être reconnue d’intérêt général pour ses bienfaits multiples sur la santé physique et mentale à la fin du 19e siècle, la très grande majorité des spécialistes du cerveau et des neurosciences s’accordent en ce début de 21e siècle, pour reconnaître l’intérêt de la pratique de la méditation de pleine conscience.
A ce titre, on connaît une explosion au niveau international du nombre d’études publiées sur ce sujet depuis le milieu des années 2000. Chacune d’elle mettant à jour les effets de la méditation de pleine conscience sur un aspect particulier de la santé humaine :
– Une meilleure résistance au stress,
– Les effets positifs sur l’anxiété, l’insomnie, les maladies inflammatoires,
– Une atténuation de douleurs multiples comme le mal de dos, la migraine et d’autres souffrances liées à la suivie d’un traitement médical lourd,
– Les effets positifs sur le vieillissement,
– Une amélioration de la concentration et un renforcement de la mémoire,
– Une atténuation de douleurs multiples comme le mal de dos, la migraine et d’autres souffrances liées à la suivie d’un traitement médical lourd.
– Les effets positifs sur le vieillissement.
Souvent ces études s’appuient sur des tests de pratique d’une durée ne dépassant pas les quelques semaines. Les résultats de la méditation de pleine conscience sont en fait rapidement décelables.
Et de nouvelles études ne cessent de voir le jour.
Ainsi la méditation de pleine conscience commence à être considérée par un public averti comme une pratique servant l’hygiène mentale, psychique et physique au même titre qu’un sport. Pour ainsi dire : la méditation c’est le sport de l’esprit.